Protocole de rédaction
I. Remarque liminaire
Le comité de rédaction des Cahiers de Science politique vous remercie de considérer la soumission d’un manuscrit aux Cahiers.
Les Cahiers de Science politique publient des travaux réalisés par les chercheurs, enseignants-chercheurs et collaborateurs du département de science politique de l'ULiège:
• des articles de synthèse,
• des résultats originaux de recherche,
• des textes issus de communications scientifiques,
• des réflexions politologiques sur des questions d'actualité,
• des travaux de fin d'études d'une qualité exceptionnelle.
La publication de ces travaux vise à contribuer au débat scientifique qui anime la communauté des chercheurs en sociologie politique, science administrative, relations internationales ou théorie politique.
II. Consignes
Afin d’assurer la cohérence des textes soumis, les sections suivantes indiquent les règles de forme et de présentation.
La longueur et la structure du texte sont laissées à la liberté des auteurs. La présentation de la bibliographie est suggérée sous le point V.
Ne pas faire de mise en page élaborée (distinguer simplement les titres et leur hiérarchie du corps du texte) mais joindre un plan clair et détaillé du texte.
Un article soumis doit respecter les consignes suivantes
- Abstract 300 mots
- 5 mots-clés
- Affiliations de l’auteur (université, centre de recherche, poste occupé par l’auteur)
- Biographie de l’auteur 200 mots
- Numéro de page en haut à droite
- Times 12, espace simple, marge 2,5
- Références en note de bas de page type Chicago
Merci de faire parvenir votre contribution aux rédacteurs en chef de la revue.
III. Ponctuation et typographie
Si les auteurs veulent se conformer à un protocole de ponctuation et de typographie, il est suggéré de suivre les règles suivantes.
- Ponctuation : pas d’espace avant le point mais un espace après, idem pour la virgule. Pour le point-virgule, le point d’interrogation, d’exclamation et le double point : espace insécable avant, espace après.
- Mettre des espaces insécables dans les autres cas suivants : après des guillemets ouvrants et avant des guillemets fermants.
- Utiliser des guillemets de type français (« exemple »). À l’intérieur de guillemets français, utiliser (‘) pour ouvrir et (’) pour fermer un nouveau guillemet.
- Les appels de note doivent être placés après les guillemets, mais avant les signes de ponctuation (point, virgule, etc.).
- Les mots étrangers sont à mettre en italique (y compris a priori, a posteriori, cf., ibidem, idem, supra, infra, mais pas etc.).
- Les mots entre guillemets ne doivent pas être mis en italique si ce sont des mots français, idem pour les citations.
- Différencier les traits d’union (-) des tirets ( – ) pour les incises.
- Mots composés : pas de trait d’union si consonne et voyelle qui se suivent (ex. : sociopolitique, néolibéral); trait d’union (-) dans les autre cas (ex. : inter-communautaire).
- Accentuation des voyelles en capitales (ex. : À, É, etc.).
- Noms d’auteur : initiale + nom (ex. : K. Deschouwer) dès la première occurrence.
- Dates de siècle en chiffre arabe et « e » en exposant (18e).
- Donner les noms d’organismes en toutes lettres à la première occurrence et mentionner l’acronyme entre parenthèses puis utiliser l’acronyme seul.
- Être cohérent tout au long du texte.
IV. Tableaux, graphiques et figures
Présenter des tableaux, figures et des graphiques de bonne qualité puisqu'ils seront
utilisés tels quels lors de la publication.
V. Bibliographie et références
Le système de références doit se faire par note de bas de page et la bibliographie doit respecter l'exemple ci-dessous:
a. Ouvrages
MARTINIELLO, M. (1995), L’ethnicité dans les sciences sociales contemporaines, Paris, PUF, coll. « Que sais-je ? ».
MÉNY, Y. et SUREL, Y. (2000), Par le peuple, pour le peuple : le populisme et les démocraties, Paris, Fayard, coll. « L’espace du politique ».
HERMET, G. et al. (2001), Dictionnaire de la science politique et des institutions publiques, Paris, Armand Colin, coll. « Cursus », série « science politique », 5e éd.
GRAWITZ, M. (1996), Méthodes des sciences sociales, Paris, Dalloz, coll. « Précis Dalloz », 10e éd.
b. Recueils de contributions et actes de colloques
GOBIN, C. et RIHOUX, B. (éd.) (2000), La démocratie dans tous ses états. Systèmes politiques entre crise et renouveau, Louvain-la-Neuve, Academia-Bruylant.
En ce qui concerne la référence d’une partie (chapitre, contribution, etc.) d’un recueil ou d’un ouvrage collectif, la notation combinera les techniques utilisées pour les références des livres et celles des articles de revue (voir ci-dessous).
POSTEL-VINAY, K. (1998), « La transformation spatiale des relations internationales », in SMOUTS, M.-Cl. (éd.), Les nouvelles internationales. Pratiques et théories, Paris, Presses de Sciences Po, coll. « Références inédites », pp. 163-181.
c. Articles de revue scientifique
MERRIEN, F.-X. (1998), « De la gouvernance des États-providence contemporains », Revue internationale des sciences sociales, n° 155, pp. 61-71.
WESSELS, W. (1997), « An Ever Closer Fusion? A Dynamic Macropolitical View on Integration Processes », Journal of Common Market Studies, vol. 35, n° 2, pp. 267-299.
d. Articles de journal
LESSARD, D. (1999), « Appui massif à la présence du Québec à des forums internationaux »,La Presse, 3 avril.
MOUTON, O. (2007), « La Belgique ? Oui, mais une autre », Le Soir, 24 et 25 mars.
ROCOUR, V. (2007), « Les jeunes ne veulent pas voter à 16 ans », La Libre Belgique, 3 novembre.
e. Communication à un congrès, une conférence ou un colloque
GRAEFE, P. (2003), « State Restructuring and the Failure of Competitve Nationalism: Trying Times for Quebec Labour », Communication présentée à la Conférence Quebec and Canada in the New Century: New dynamics, New Opportunities, Institute of Intergovernmental Relations, Université Queen's, Kingston, 30 octobre et 1er novembre.
JACQUEMAIN, M., et al. (2008), « L’engagement est-il soluble dans les médias ? », Communication présentée au Quatrième Congrès de l’Association belge de science politique-Communauté française, Université catholique de Louvain, Louvain-La-Neuve, 24 et 25 Avril.
f. Sites Web
Les références d’une source électronique doivent mentionner les éléments suivants : le nom de l’auteur du document (si possible), l’intitulé de la page Web, le nom général du site (si possible), la date du document (si possible), l’adresse URL (éventuellement entourée de crochets) et la date de consultation.
TOPAN, A. (2002), « The resignation of the Santer-Commission: the impact of ‘trust’ and ‘reputation’ », European Integration Online Papers, vol. 6, n° 14, 30/09/2002, <http://eiop.or.at/eiop/texte/2002-014a.htm> (consulté le 11/10/2002).
Government of CanAda(2003), « Introduction to the Government of Canada Official Sites », Government of Canada Official Web Site, (consulté le 11/04/2008).
Si vous avez des remarques ou des questions sur ces points, n’hésitez pas à contacter dealan.riga@uliege.be