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Voyage muséologique aux Pays-Bas
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Version PDF originale1Dans le cadre du cours de Muséographie donné par Madame Manuelina Maria Cândido Duarte à l’Université de Liège, nous avons eu le plaisir de visiter plusieurs musées aux Pays-Bas, plus précisément à Amsterdam, Leyde et Rotterdam.
2Ce voyage débute à Amsterdam par la Reinwardt Academy. Nous avons été reçues par les étudiantes du « Master en muséologie appliquée et étude du patrimoine » qui nous ont présenté leurs travaux de mémoire. Leur formation n’est pas basée sur l’histoire mais plutôt sur la pratique de la muséologie en elle-même.
3Cette rencontre nous a permis d’échanger avec des étudiants d’autres pays mais également de voir leurs façons de concevoir une exposition. Leurs présentations portaient sur une future exposition « If these walls could talk ». Celle-ci donne une voix au personnel de maison noble, à qui l’on ne pense pas toujours quand on visite une ancienne bâtisse. Son objectif est d’inclure les visiteurs en son sein afin qu’ils fassent partie du personnel. L’enseignement de la Reinwardt Academy offre une approche plus « pratique » de la muséologie. Cela permet de s’ouvrir à d’autres facettes méconnues de ce domaine.
4Hester Dibbits1 nous a présenté son projet « Emotion Networking » créé en partenariat avec Marlous Willemsen2 (fig. 1). Dans les conversations sur le patrimoine, les émotions peuvent être vives, il est donc intéressant de comprendre l’interaction des intérêts et des émotions qui entourent ce dernier. Le fait de mettre en exergue les sentiments que l’on ressent lorsqu’on parle du passé permet de les apprivoiser et nous aide à gérer ce bagage émotionnel dans le présent. Cela permet d’avoir une certaine sagesse patrimoniale, d’avoir un rapport critique sur le passé. Le concept de « sagesse patrimoniale » désigne les compétences nécessaires pour établir un lien entre le patrimoine et sa propre position vis-à-vis de celui-ci dans le but de faire face au passé souvent chargé en émotions. Les réseaux d’émotions proposent des webinaires et des ateliers afin de comprendre le sujet et en apprendre davantage. Cette façon d’accorder de l’attention au passé pour pouvoir survivre au présent permet d’aider les personnes qui en ont besoin, telles que les personnes en difficultés qui ont parfois vécu des évènements traumatisants. C’est d’ailleurs une idée qui devrait se développer dans d’autres pays et qui n’est pas seulement liée aux Pays-Bas. Nous vivrons la seconde partie de cette expérience plus tard, lors de notre visite du Projet Imagine I.C.
Figure 1 – Réseaux d'émotions, Reinwardt Academy, 4 avril 2022. Photo : Adèle Even.
5Le mardi 5 avril, nous avons rejoint Rotterdam afin de visiter le Dépôt Boijmans Van Beuningen. Le musée est actuellement en travaux et devrait rouvrir ses portes en 2029, c’est pourquoi nous n’avons pu accéder qu’à la réserve visitable du musée. L’ensemble des réserves est trié par matériaux en fonction des moyens de conservation différents de chaque objets. Dans le hall, les objets dans les box en plexiglas sont changés tous les 6 mois (Fig. 2). Durant le mois d’avril, le dépôt proposait des visites plus poussées que celle à laquelle nous avons eu droit en accédant à certains endroits du musée comme la zone d’emballage et de déballage, le tout accompagné d’un guide3.
6Tout muséologue est muséographe. De ce fait, la formation de muséologie ne comprend pas simplement la gestion administrative d’un musée mais englobe la conservation des collections, la gestion des publics, le volet éducatif, l’organisation des expositions et la scénographie, etc.4 Le fait de visiter les réserves d’un musée est gratifiant pour notre formation en muséologie car cela nous permet d’apprendre et de comprendre le métier de muséologue ainsi que le fonctionnement de la face cachée d’un musée. La faiblesse du Dépôt serait son aspect « lèche-vitrines ». En effet, les espaces de restauration sont protégés d’une grande baie vitrée permettant au visiteur de regarder le travail des restaurateurs (fig. 3). Cet effet donne un air relativement faux aux réserves.
Figure 2 – Hall d'entrée, Dépôt Boijmans van Beuningen, 5 avril 2022. Photo : Adèle Even.
Figure 3 – Salle de restauration, Dépôt Boijmans van Beuningen, 5 avril 2022. Photo : Adèle Even.
7Le mercredi 6 avril, nous avons pu participer à la suite du projet sur les réseaux d’émotions en participant à « Imagine I.C. » présenté par Jules Rijssen et Éline Minnaar-Kuiper. Imagine I.C. a débuté il y a 23 ans à Amsterdam et le projet est actuellement implanté dans le quartier du Zuidoost, au sud-est d’Amsterdam qui apparaît en 1969. Ce quartier se voulait utopique, les créateurs avaient une vision de paradis et voulaient offrir un meilleur avenir avec plus de modernité, plus d’espaces verts et attirer la classe moyenne mais cela n’a pas fonctionné. Les appartements restaient vides et le quartier était mal fréquenté. Le but du nouveau projet est de faire revenir la population, de redorer l’image du quartier. Ils aident également la population car quiconque a une idée ou souhaite avancer dans un projet peut utiliser Imagine I.C.. Ce n’est pas juste un « Neighbourhood museum » car ils travaillent avec et pour le voisinage qui sont des acteurs du quartier. Les vitrines du musée ne présentent pas seulement l’histoire du Bijlmer5 mais affichent une sélection de tous les objets prêtés par la population et réunis entre 2014 et 2019 autour de thèmes tels que la foi, la résistance, etc. (fig. 4) L’exposition, qui dure entre six et huit mois, veut donner un sentiment de chez-soi. À la fin de celle-ci, ces objets sont rendus au propriétaire car il n’y a pas assez d’espace pour tout stocker. Créer ces expositions n'est pas le but premier du musée mais il est utilisé comme un tremplin vers le réel but qui est de parler avec les gens, le voisinage et les personnes concernées. Concernant les réseaux d’émotions, nous nous sommes rassemblés en cercle et avons échangé sur nos sentiments par rapport à la catastrophe qui est survenue dans le quartier du Bijlmer où un avion s’était écrasé le 4 octobre 1992 faisant 43 victimes.
Figure 4 – Exposition Imagine I.C., 6 avril 2022. Photo : Adèle Even.
8Imagine I.C. est donc un projet de recherche de mémoire collective. C’est un mélange d’archives et de musées au cœur du Bijlmer. Ils font des nouvelles acquisitions pour la collection d’Amsterdam en collaboration avec le quartier. La méthode de collecte et d’acquisition est donc participative en étant basée sur les expériences de chacun. Ils optent pour la démocratie patrimoniale où tout le monde devrait avoir une voix. Ils font des collaborations avec plusieurs institutions comme la Reinwardt Academy ou le Tropenmuseum avec l’exposition « Saya et Koto : couches de tissu et de temps »6. Imagine I.C. se déplace dans les écoles primaires et secondaires des alentours mais également chez les personnes qui veulent apprendre ce qu’est le véritable héritage et ce qu’ils peuvent en faire.
9Le jeudi 7 avril, la journée fut consacrée au Tropenmuseum. Nous avons débuté notre visite du musée par le 1er étage dans une exposition temporaire sur les cadeaux (fig. 5). L’exposition reprend en long et en large le thème des présents à offrir, des cadeaux d’anniversaire tout comme funéraires. L’étage se termine par une autre exposition temporaire sur les pouvoirs de guérison à travers différents moyens comme la sorcellerie, la psychologie, la nature, les animaux, la drogue ou même le spirituel. Au rez-de-chaussée, « Things That Matter » est l’exposition permanente sur les choses importantes et l’importance des choses : des objets d’une grande signification personnelle qui sont liés aux problèmes d’aujourd’hui à travers dix thèmes sociaux. Certains objets de la collection du musée sont accompagnés d’un témoignage. Par exemple, « When is culture yours » nous fait réfléchir sur l’appropriation culturelle. Autre exemple, l’activiste Kathy Jetnil-kijner exprime ses inquiétudes concernant l’élévation du niveau de la mer et ses effets sur sa culture7. C’est un musée que l’on pourrait qualifier de musée de société. Il axe son exposition sur les problèmes sociaux actuels et offre parfois une façon de les résoudre8.
Figure 5 – Exposition temporaire sur les cadeaux, Tropenmuseum, 7 avril 2022. Photo : Adèle Even.
10Le vendredi 8 avril, nous nous sommes déplacés à Leyde afin de visiter le Naturalis, l’institut de recherche et musée d’histoire naturelle. Nous avons débuté l’exposition par une salle immergée dans le noir, seuls les animaux marins y sont éclairés afin de donner un effet plus impressionnant. Le musée reste dans le spectaculaire avec les salles suivantes qui présentent les animaux marins et terrestres (fig. 6), le tout dans une atmosphère mystérieuse, sombre et magique. Le visiteur est complètement immergé dans ces salles grâce à différents sons : une musique, une imitation d’orage, de pluie et de vents. Le point décevant de cette salle est le manque d’explications (hormis les noms d’espèces) et le manque de contexte car les animaux sont simplement les uns à côté des autres. Ce manque d’information est comblé avec la salle suivante qui nous présente quatre phénomènes naturels dans quatre pays : le Brésil, le Japon, l’Islande et l’archipel d’Hawaï. La scénographie est intéressante car elle donne l’impression d’être à l’intérieur d’un diorama. On peut rentrer dans un van en Islande (fig. 7) ou visiter un temple du Japon. On se retrouve ensuite dans une grande salle consacrée aux dinosaures. Le numérique y est présent avec des projections de vidéos sur de grandes toiles. Le reste de la scénographie est quant à elle plus classique. À l’étage supérieur se trouve une salle consacrée à l’ère glaciaire. Au milieu se trouve une grande plaine et, de chaque côté, des jumelles permettent de voir de petites vidéos d’animaux se battant et jouant dans la plaine (fig. 8). Contre les murs se trouvent des étagères ressemblant à celles des premiers musées ainsi qu’aux cabinets de curiosités contenant des restes d’os. Ensuite, nous nous dirigeons vers une salle explicative sur Eugène Dubois, découvreur de l’homo erectus. Il fut le premier à rechercher des formes intermédiaires fossiles entre l’homme et le singe. Au dernier étage, on rentre dans une salle consacrée à la séduction qui ressemble à une maison de poupée en style art nouveau (fig. 9). Et enfin, une salle sur le thème de la mort termine l’exposition. L’espace est complètement dans le noir afin de probablement instaurer un effet de peur, de mystère. Ces différentes salles nous montrent que l’immersion du visiteur fait partie intégrante de la gestion des expositions.
Figure 6 – Première salle d'exposition, Naturalis, 8 avril 2022. Photo : Adèle Even.
Figure 7 – Seconde salle d'exposition, Naturalis, 8 avril 2022. Photo : Adèle Even.
11Mettre en éveil les différents sens et créer des émotions chez le visiteur sont des éléments primordiaux pour le Naturalis. L’immersion dans les musées de sciences est de plus en plus courante, comme le dit Alessandra Mariani9 : « Au cours des quinze dernières années, les expériences concluantes des musées de sciences ont permis de plonger le visiteur dans un environnement donné, dans le but de favoriser la compréhension de phénomènes ou de mécanismes scientifiques, et ont ainsi ouvert la voie à l’évolution de ces techniques de « mise en situation » pour les adapter ultérieurement à d’autres environnements muséaux. » (Mariani 2007). Même si ce stratagème permet en effet de marquer l’enfant, il faut admettre qu’il peut très souvent esquiver le savoir au profit de l’effet scénographique. Cela pourrait être perçu comme une volonté commerciale car un enfant impressionné aura probablement envie de revenir. Il ne faudrait donc pas que cet aspect dépasse le but premier qui est l’éducation.
12L’ensemble du musée est consacré aux enfants mais la visite n’en est pas moins intéressante pour les adultes. Durant tout le long de cette dernière, des bancs sont installés de part et d’autre de chaque salle pour compenser la fatigue muséale. Des guides sont également disponibles dans les différentes salles afin de compléter les informations. Par exemple, dans la première salle, un guide décrit les différentes peaux que les animaux peuvent avoir avec la possibilité de toucher et manipuler les différents objets. Autre exemple, dans la salle sur les dinosaures, un guide nous fait faire un jeu de devinettes. Le but est que ces médiateurs soient accessibles pour que le visiteur vienne de lui-même leur poser des questions.
Figure 8 – Salle sur l'ère glaciaire, Naturalis, 8 avril 2022. Photo : Adèle Even.
Figure 9 – Salle sur la séduction, Naturalis, 8 avril 2022. Photo : Adèle Even.
13À l’entrée du musée se trouve le « live science » où des chercheurs et scientifiques travaillent et répondent à nos questions sur leurs métiers et leurs recherches (fig. 10). Une application est disponible pour encore plus d’interactivités avec des informations supplémentaires sur leur collection. Dans la nouvelle visite interactive du musée, ils montrent à quel point la biodiversité est vulnérable et résiliente en étudiant la relation entre l’homme et la nature. C’est un point positif à mettre en exergue car peu de musées font attention aux problèmes socio-climatiques que notre monde connaît à l’heure actuelle. De plus, étant un musée consacré aux enfants, il est primordial de les éduquer sur des thèmes comme le réchauffement climatique, la pollution, etc.
14Après la visite du musée nous avons pu visiter les réserves, accompagné d’une guide. Beaucoup de budgets ont été alloués à cet espace qui a été complètement remis à neuf. Malheureusement, les employés qui travaillent dans les réserves n’ont pas beaucoup de contacts avec le musée et les autres départements. Or pour une gestion muséale habile, il faut que la communication soit effective entre tous les départements.
Figure 10 – « Live science », Naturalis, 8 avril 2022. Photo : Adèle Even.
15Durant le dernier jour du voyage, nous avons visité le Rijksmuseum, musée national néerlandais abrité dans un magnifique bâtiment datant de 1876. L’exposition est divisée par étages et chaque étage comporte une période de temps. Par exemple, la visite commence par l’étage 0 et la collection datant de 1100 et 1600 ainsi que la collection spéciale. Le 1er étage comporte les objets de 1700-1800 et 1800-1900, et ainsi de suite jusqu’à l’époque contemporaine au dernier étage. Le Rijksmuseum est divisé en trois départements : le département des Beaux-Arts, le Cabinet national des estampes et le département sur l’histoire néerlandaise. Le département des Beaux-Arts, lui-même divisé en trois sections : peinture, sculpture et arts décoratifs/asiatiques donne un aperçu de l’art néerlandais du XVe au XXe siècle. Pour l’illustrer, la collection présente des œuvres de grands artistes, notamment celle de Johannes Vermeer, Rembrandt ou encore Frans Hals. Les deux autres sections ont un caractère plus international.
16Toute l’exposition fait un parallèle avec l’esclavage, sur 140 œuvres au total. L’exposition « Slavernij » revient sur le passé sombre des Pays-Bas et évoque les exactions commises durant l’époque coloniale. On retrouve ainsi quelques cartels expliquant le rapport de l’œuvre ou de son artiste avec l’esclave à travers l’histoire de dix personnages réels. Même si c’est une grande institution de renommée nationale, le Rijksmuseum retourne vers un passé peu glorieux et rappelle les atrocités exécutées principalement par la Compagnie des Indes néerlandaise. Sans qualifier le musée de musée de société, l’exposition permet de « présenter une histoire plus complète du passé national néerlandais auquel l’esclavage reste inextricablement lié aujourd’hui » (Lesauvage 2021). Si l’on suit l’idée d’un musée en accord avec sa société décrite par Duncan Cameron10 : « Comme temple, le musée est détruit, sa crédibilité et son autorité sont perdues lorsqu’il est incompatible avec les valeurs de la société qu’il dessert » (Cameron 1994), le Rijksmuseum rentre dans ces critères de vérité en rajoutant l’exposition sur l’esclavage et en enlevant le voile du mensonge sur l’Âge d’Or des Pays-Bas. Nous pouvons comparer cette exposition avec la réouverture du Musée de Tervuren en 2018 qui offre une auto réflexion critique sur le passé lié au colonialisme belge (Lorente 2022). Cela permet de changer l’ancien message que le musée voulait faire passer vers un message plus ouvert et autocritique envers son pays, ce qui semble être tourné vers l’évolution.
17Le point négatif du musée est justement son impressionnante collection. La visite est fatigante car trop longue et le message est incompréhensible pour le visiteur à cause du nombre d’œuvres accumulées. Alors pourquoi ne pas filtrer les œuvres ? Rendre l’exposition plus légère et plus fluide, permettrait une meilleure éducation du visiteur. Je pense qu’ils ne voudraient pas le faire parce que cela amoindrirait la collection, or ils veulent garder ce surplus d’objets et donner la possibilité aux visiteurs de voir « de tout ». Je trouve cela dommage car pour mieux contextualiser un discours il faut moins d’objets et plus d’espace, il faut que l’œuvre accompagne ce message et non pas qu’elle le surpasse11. De plus, l’organisation du musée est tournée vers la collection et vers les bénéfices. Une organisation comme l’a auparavant fait Nina Simon au Musée d’art et d’histoire de Santa Cruz pourrait faire changer cela. Le musée serait davantage tourné vers le public et travaillerait dans le but d’améliorer les relations entre lui et le musée12.
18Pour conclure, les Pays-Bas regorgent de nombreux musées aussi intéressants les uns que les autres et nous apportent beaucoup d’informations nécessaires à l’apprentissage dans le milieu de la muséologie. Que ce soit en remarquant les points positifs de certains musées ou en arborant les points négatifs pour d’autres, c’est en analysant les défauts que l’on peut prendre conscience et faire évoluer la gestion administrative, la gestion des collections ou encore la gestion des publics.
Bibliographie
Cameron Duncan, 1994 : « Les parquets de marbre sont trop froids pour les petits pieds nus », in De Bary Marie-Odile & Desvallées André & Wasserman Françoise, Vagues : une anthologie de la nouvelle muséologie, vol. 2, éd. W-MNES, p. 55.
Imagine I.C., disponible en ligne sur : https://imagineic.nl/ (consulté le 13 août 2022).
Lesauvage Magalie, 2021 : « Esclavage : les Pays-Bas confrontés à leur passé », Le quotidien de l’art, n° 2216. Disponible en ligne sur : https://www.lequotidiendelart.com (consulté le 16 août 2022).
Lorente Jesus Pedro, 2022 : « La (méta)muséologie critique, au musée et au-delà », Les Cahiers de Muséologie, n° 2. Disponible en ligne sur : https://popups.uliege.be (consulté le 16 août 2022).
Mariani Alessandra, 2007 : « L’immersion sensible : une autre façon de transmettre les contenus ? », Muséologies, Les cahiers d’études supérieures, éd. Association Québécoise de Promotion des Recherches Étudiantes en Muséologie (AQPREM), vol. 2, n° 1. Disponible en ligne sur : https://id.erudit.org/iderudit/1033597ar (consulté le 16 août 2022).
Museum Boijmans van Beuningen, disponible en ligne sur : https://www.boijmans.nl/ (consulté le 13 août 2022).
Notes du cours « Actions éducatives et culturelles dans les musées » donné par Manuelina Maria Duarte Cândido, 2022.
Notes du cours « Conception des expositions » donné par Manuelina Maria Duarte Cândido, 2021.
Notes du cours « Musées d’histoire et de société » donné par Noémie Drouguet et Marie-Paule Jungblut, 2021.
Tropenmuseum, disponible en ligne sur : https://www.tropenmuseum.nl/nl (consulté le 13 août 2022).
Notes
1 Maître de conférence en patrimoine culturel à la Reinwardt Academy et professeur à l’Université Erasmus de Rotterdam.
2 Directrice du projet Imagine I.C.
3 Museum Boijmans van Beuningen, disponible en ligne sur : https://www.boijmans.nl/ (consulté le 13 août 2022).
4 Notes du cours « Conception des expositions » donné par Madame Manuelina Maria Duarte Cândido, 2021.
5 Quartier résidentiel d’Amsterdam dans le district d’Amsterdam-Zuidoost.
6 Imagine I.C., disponible en ligne sur : https://imagineic.nl/ (consulté le 13 août 2022).
7 Tropenmuseum, disponible en ligne sur : https://www.tropenmuseum.nl/nl (consulté le 13 août 2022).
8 Notes du cours « Musées d’histoire et de société » donné par Madame Noémie Drouguet et Madame Marie-Paule Jungblut, 2021.
9 Candidate au doctorat en histoire de l’art à l’Université du Québec à Montréal (UQAM).
10 Directeur du Glenbow-Alberta Institute et premier président canadien de l’Association des musées du Commonwealth.
11 Notes du cours « Musées d’histoire et de société » donné par Mme Noémie Drouguet et Mme Marie-Paule Jungblut, 2021.
12 Notes du cours « Actions éducatives et culturelles dans les musées » donné par Mme Manuelina Maria Duarte Cândido, 2022.