- Accueil
- Volume 3 - 2010: Etendues de la réflexivité
- Autofiction et métafiction dans la littérature hispanique contemporaine :
depuis le 05 février 2011 :
Visualisation(s): 1111 (23 ULiège)
Téléchargement(s): 689 (27 ULiège)
Visualisation(s): 1111 (23 ULiège)
Téléchargement(s): 689 (27 ULiège)
Alizé Taormina Autofiction et métafiction dans la littérature hispanique contemporaine :
Autofiction et métafiction dans la littérature hispanique contemporaine :
À la vitesse de la lumière de Javier Cercas
(Volume 3 - 2010: Etendues de la réflexivité)
Article
Document(s) associé(s)
Annexes
Résumé
L’une des caractéristiques de la littérature postmoderne est la réflexivité, qui s’actualise notamment dans des formes narratives telles que l’autofiction et la métafiction. Partant du constat selon lequel, dans bien des cas, l’autofiction est aussi métafiction, il s’agit d’étudier la relation qui se noue entre ces deux configurations dans la littérature hispanique contemporaine, et plus particulièrement dans le dernier roman de l’écrivain espagnol Javier Cercas, À la vitesse de la lumière (2006). Nous verrons ainsi comment certains procédés métafictionnels à l’oeuvre dans ce roman — l’intertextualité et le « roman du roman » — alimentent l’ambiguïté générique qui caractérise le genre autofictionnel, renforçant d’une part l’effet de fiction et, d’autre part, l’effet de réalité qui se dégagent du texte.1Cet article n’est disponible qu’au format .pdf (voir document annexe ci-dessous).
Pour citer cet article
Alizé Taormina, «Autofiction et métafiction dans la littérature hispanique contemporaine :», MethIS [En ligne], Volume 3 - 2010: Etendues de la réflexivité, 81-90 URL : https://popups.uliege.be/2030-1456/index.php?id=328.
A propos de : Alizé Taormina
Université de Liège