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- Volume 3 - 2010: Etendues de la réflexivité
- Peut-on parler de réflexivité du dispositif cinématographique ?
depuis le 05 février 2011 :
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Valentina Miraglia
Peut-on parler de réflexivité du dispositif cinématographique ?
(Volume 3 - 2010: Etendues de la réflexivité)
Article
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Annexes
Résumé
La pensée réflexive, appliquée au couple du cinéaste et de l’instrument (la caméra) avec lequel il opère, nous installe au coeur du mécanisme de production (processus) de l’oeuvre (le film), dans son noyau philosophique. C’est dans ce sens que l’instance de création dans la pratique cinématographique doit être lue comme le résultat d’un compromis entre ce qu’il y a de plus abstrait — l’idée, l’émotion — et ce qu’il y a de plus concret — la machine. Or, l’histoire des images ne doit pas se borner à un simple accolage d’une histoire des techniques et d’une histoire des esthétiques. Nous partons de l’hypothèse selon laquelle l’évolution des images est le résultat d’un changement plus radical des formes de la vision. L’analyse de séquences de films où l’on observe une mise en scène du filmeur à l’intérieur du filmé permettra de décrire cette réflexivité, à première vue « latente », de l’œil de la caméra (cadre, durée, mouvement, composition, lumière) sur le monde perçu en retour.1Cet article n’est disponible qu’au format .pdf (voir document annexe ci-dessous).
Pour citer cet article
Valentina Miraglia, «Peut-on parler de réflexivité du dispositif cinématographique ?», MethIS [En ligne], Volume 3 - 2010: Etendues de la réflexivité, 125-142 URL : https://popups.uliege.be/2030-1456/index.php?id=338.
A propos de : Valentina Miraglia
CeReS — Université de Limoges — chercheuse associée de l’Université de Liège et de la Cinémathèque Française de Paris